Une rencontre inatendue

Ce soir j'avais décidé d'aller me balader dans les rues de NY ce qui pourrait peut-être me permettre de trouver de quoi me nourrire. Il y avait pas mal de monde dans les rues ce soir mais mon jean, ma chemise noir et mes chaussures me firent passer inperçu. Je regardais les vitrines qui étaient décoré de choses de noël. Cela me déprimais de voir tout cela. De mon temps on ne voyais pas tout cela, tout était beaucoup plus simple. Je soupirais et repris mon chemin. Un peu plus tard une odeur attira mon attention. Un jeune chsseur était dans les parages. Je le repérais bien vite, il était en train de surveiller une jeune femme devat une bijouterie. Je m'approchais alors et surveillais les deux individus. La jeune femme regardais un collier et avait l'air désiter mais le jeune chasseur lui était toujours en train de la regarder discètement. J'allai alors en marchant un peu plus vite puis bouculais et la demoiselle et le chasseur. Je posai ma main sur le chasseur.

- Veuillez m'excusez. Puis je regardais la jeune femme. Accepter mes excuses madame. dis-je d'un signe de tête.

Je lui souris puis passais mon chemin et tournais dans la ruelle suivante comme si j'étais pressé. Je m'arrêtais une fois tourné et très vite mon plan marcha puisque le chasseur tourna aussi. Je l'attrapai alors pour le plaquer contre le mur et il m'enfonça un pieu juste à côté du coeur.

- Tu n'aurais pas dû me louper!

Je plantais alors mes crocs dans sa gorge pour lui retirer le plus de ang possible. Une fois qu'il fut asser faible je retirais le pieu et le regardais droit dans les yeux activant mon don.

- Tu n'es plus un chasseur. Désormais tu va te conssacrer à tes études au travailet oublier tout ce que tu as appris, compris?

Il acquiesça d'un signe de tête puis je le laissai tomber. Je regardais ma chemise qui était bonne pour la poubelle. Je soupirai et repris le chemin inverse mais la jeune femme était au coinde la rue me regardant.

- Espionner est un vilain défaut!

Je lui souris.

- Kleden Williams! Et vous devriez faire attention, les chasseurs de vampires se multiplies ses temps-ci madame...?

Cela faisait quelques mois que j'étais arrivée sur le sol américain et que j'avais enfin pu m'entretenir avec Tanya. Les retrouvailles furent fortes en émotion mais très courtes. Je ne voulais pas que les autres membres de son clan apprennent mon existence et que ça puisse lui porter préjudice.
Après quelques heures, je m'effaçais donc et repartis sur New-York où je m'étais établie. J'espérai secrètement la revoir cela dit.

Je pris l'avion au départ de Seattle et m'envolais vers ma nouvelle vie. New-York. Une des plus grandes villes des États-Unis. C'était un immense terrain de jeu que je comptais bien exploiter jusqu'à en être las. Si cela était seulement possible... Et puis je supposai que partout sur cette planète les Volturi avaient vent de ce qui se passait. Et si un trop grand nombre d'humains disparaissaient ils s'en rendraient compte et la sanction serait très sévère.

Je m'étais installée dans un hôtel près de central park. Le cadre était parfait. La ville avait revêtue ses plus belles décorations pour accueillir dignement le père noël et ses lutins.

Et dire qu'en étant petite c'était ma fête préférée... pensais-je en déambulant dans les rues.

Les hommes se retournaient sur mon passage mais je n'y prêtais pas plus attention que cela. C'était devenu lassant au fil des années. Les séduire pour les tuer était un jeu trop facile. Cependant une odeur humaine me suivait depuis quelques rues et je me demandais bien pourquoi. Je ne le compris que lorsque je m'arrêtai devant une bijouterie. Je perçus son regard sur moi. Devrais-je être flattée qu'un mortel s'intéresse autant à moi? Sûrement pas. Pour moi, il n'était rien d'autre que de la nourriture ou un moyen de me distraire. Et alors que je remarquais un joli collier je fus bousculée par quelque chose de dur mais à l'odeur plus qu'agréable... Un vampire. J'étais dans la plus grande ville de ce pays et force était de constater que je n'allais sûrement pas être la seule immortelle. Je souris.

«Veuillez m'excusez.» dit-il en se tournant vers moi maintenant.«Acceptez mes excuses madame.»

J'acquiesçai et il tourna les talons pour aller dans une ruelle un peu plus loin. Il fut rapidement suivi par l'humain qui m'avait en vue. Je fronçais les sourcils et fus intriguée. Je me dirigeai alors vers la petite rue et ce que j'y vis me fit largement sourire. L'humain en très mauvaise posture à la merci de mon confrère.
Une fois son petit tour de passe passe fini il voulut revenir sur la grande rue mais je plaçai contre le mur et regardai le vampire avec un air espiègle.

«Espionner est un vilain défaut!» fit-il avec un sourire.

«Kleden Williams! Et vous devriez faire attention, les chasseurs de vampires se multiplient ces temps-ci madame...?»

- Des chasseurs vous dites ? Dis-je en riant. [b] Ce ne sont que des humains pourtant ...

Je m'avançais vers lui et tendis ma main.

- Madame Bradford, Eleanore Bradford.

Il me serra la main et je plongeai mon regard dans le sien.

- Vous venez souvent en aide aux vampires femelles en détresse poursuivies par de vilains humains en colère ? Dis-je avec une voix sensuelle.

Attirer des humains était un bon jeu mais séduire nos pairs était tout aussi excitant. Et je devais bien avouer qu'il était bien charmant.
J'attendis sa réponse en ne cessant de le regarder.

"Et bien si je puis me permettre les chasseurs ne sont pas de simples humains. Ils sont dôtés de pouvoirs aussi!"

- Vraiment ? J'aurais été ravie de pouvoir l'affronter en personne alors ... fis-je en riant.

"Et je m'en serais voulu d'avoir laissé telle beauté se faire tuer par un chasseur. Vous êtes des plus ravissantes Miss Bradford!"

Si j'avais pu rougir, mes joues seraient devenues toutes rouges. Il avait, comme tous les vampires, un sacré charisme. Son sourire me troubla mais je ne le montrai pas. Je n'allais pas céder aussi facilement. J'avais un rang et une réputation à tenir même à des milliers de kilomètres de chez moi.

- Vous êtes un vrai gentleman alors ... Les hommes de nos jours savent encore ce qu'est un esprit chevaleresque? Tout n'est pas perdu.

Je fis un sourire amusé.

- Mais pourquoi ne pas avoir profité de ce repas ? Vous l'avez laissé filer alors qu'il aurait pu être une bonne proie. Ont-ils un goût différent des autres humains ?

Je ne savais quasiment rien sur ces chasseurs. Je n'en avais jamais croisé auparavant. J'étais bien tombée ce soir en tout cas. Maintenant j'étais au courant et allais être un peu plus sur mes gardes.

- En attendant vous m'avez vraiment ouvert l'appétit ... Accepteriez-vous de vous joindre à moi pour une petite chasse ?

J'attendis sa réponse en gardant mon sourire et en le regardant sans cesse dans les yeux.

- Vous êtes un vrai gentleman alors ... Les hommes de nos jours savent encore ce qu'est un esprit chevaleresque? Tout n'est pas perdu.

Elle me fit un sourire amusé.

- Tout comme vous êtes une dame qui n'as rien à voir avec celles de nos jours. Dis-je en répondant à son sourire.
- Mais pourquoi ne pas avoir profité de ce repas ? Vous l'avez laissé filer alors qu'il aurait pu être une bonne proie. Ont-ils un goût différent des autres humains ?
- Disons que je trouve celà beaucoup plus drôle de leur effacer la mémoire.

Semi vérité en fait mais elle n'était pas obliger de le savoir. Ou du moins pas tout de suite.

- En attendant vous m'avez vraiment ouvert l'appétit ... Accepteriez-vous de vous joindre à moi pour une petite chasse ?

Je lui tendis mon bras.

- Avec plaisir Miss Bradford.

Nous sortîmes de la ruelle pour aller dans les rues de NY. Elle repéra une proie alors et nous la suivîmes. Malheureusement se fut un echec puisque la dite proie rentra dans ses appartements. Nous continuâmes notres chemin et au loin dans un quartier moins réputer j'entendis ce qui me faisait envie. Un jeune vampire essayait d'attaquer un humain. Alors j'entrainais la jeune femme dans les bas quartiers et lorsque nous arrivâmes dans la ruelle je lui murmurais à l'oreille.

- Je vous laisse l'humain, je prends l'autres.

je lui fis un large sourire et mes canines sortirent. En deux secondes je me retrouvais sur le nouveau né lui arrachant d'abord un bras puis l'autre le tout sans faire dans la dentelle. Je plantais ensuite mes crocs dans son cou et m'abreuvait de lui jusqu'à la dernière goutte. Lorsque j'eus fini je l'envoyais dans la poubelle et attendis que Miss Bradford finisse son repas. Lorsque ce fut fait je lui souris et pris sa proie pour la mettre dans la poubelle. J'y mis ensuite le feu et allait la rejoindre.

- Êtes-vous rassasié? J'espère que mon repas ne vous à pas choqué!?